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La pédagogie préventive à l’école, les avancées actuelles et à venir

Exemple

L’échec scolaire, compris comme un niveau en lecture, écriture et calcul trop faible pour permettre de suivre les enseignements proposés au collège, est aisé à pronostiquer dès l’entrée au CP.

Massif, précoce, l’échec scolaire est aussi réductible, par des moyens pédagogiques.

Cet article – rédigé par deux membres de l’équipe d’Agir pour l’Ecole et publié dans la revue Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l’Enfant – analyse les voies pédagogiques de traitement de l’échec scolaire.

 

Enseignement de l’analyse 

Une pédagogie adaptée permet de réduire fortement le nombre d’élèves en difficulté dans les premières classes de l’école primaire, ce qui est souhaitable pour réserver les réponses paramédicales aux élèves les plus faibles.

Les expérimentations récentes avec groupe témoin, en France (projet Lecture d’Agir pour l’école) ou à l’étranger, montrent la nécessité d’un diagnostic précoce, notamment sur la phonologie, suivi d’un entraînement renforcé des compétences de pré-lecture et de lecture.

Les pédagogies les plus prometteuses sont les pédagogies structurées, qui évaluent fréquemment les compétences des élèves et ciblent correctement leurs besoins. Une organisation améliorée du temps scolaire est aussi indispensable pour obtenir des résultats élevés.

En bref, différencier sur la base de tests fréquents la pédagogie mise en oeuvre, mesurer les progrès et adapter l’organisation de sa classe au travail en petits groupes sont les ingrédients d’un apprentissage efficace de la lecture pour les élèves faibles.

 

Pour lire l’article dans son intégralité, c’est ici.